On a longtemps dit que l’apprentissage de la musique devait s’aborder très jeune. Que la musique est un loisir onéreux. Qu’il fallait souffrir pour y arriver. Que le solfège était incontournable et était un préambule obligatoire à toute pratique instrumentale. Qu’il fallait jouer plusieurs heures par jour pour avoir des résultats acceptables. Qu’il fallait « entrer en musique » comme on entre en religion, en abandonnant toute autre forme d’activité ou de loisirs…
Et si, pourtant, la musique pouvait être une exceptionnelle source d'épanouissement ?? Bien sur, pour envisager une carrière professionnelle, il faut sans doute bien un acharnement, une persévérance et un… talent évident - est-ce en cela différent d’une pratique sportive de haut niveau - , mais il est sans doute tout-à-fait envisageable de pratiquer la musique de manière détendue, de s'en enrichir et d’y prendre du plaisir!

A quel âge faut-il commencer la musique? Cela n’a en fait, aucune importance… Mais pas avant 6 ou 7 ans car il faut attendre que l’enfant soit bien latéralisé. Et… qu’il ait compris, avec l’école, ce qu’était l’acte d’apprendre! Pour ce qui est de la limite haute, elle n’existe pas, même si bien évidemment, commencer jeune permet d’envisager une progression plus importante. Pourquoi « frustrer » un adulte qui souhaite vivre un rêve d’enfant? On a peut-être plus de mal, étant adulte, à se retrouver en situation « d’apprenant », mais les motivations sont souvent suffisamment intenses pour passer au-delà!
L’achat d’un instrument de musique est onéreux, dit-on souvent. Sans doute, si l’on souhaite acquérir un saxophone Selmer ou un piano Steinway, les "références" absolues! Mais on parle ici presque d’oeuvres d’art… Il est possible de trouver des instruments parfaitement adaptés à un apprentissage correct pour quelques centaines d’Euros; ce ne seront assurément pas des instruments « de concert », mais ils rempliront parfaitement l’objectif qui leur

L’apprentissage de la musique est réputé être long et fastidieux, au regard de l'apparente facilité et du résultat obtenu sans délai dans différents loisirs actuels. Ce n'est pas totalement faux. Mais le plaisir vient cependant très vite, si l’on sait le stimuler: on JOUE dès le premier cours, ensuite, vient « le bonheur » d'aborder un morceau que l’on a choisi, puis de découvrir que c’est « génial » de jouer à plusieurs, et ce dès les premiers mois de pratique… Comme pour toute activité, il faudra un minimum d’assiduité pour progresser, disposer d’un peu de temps pour s’entraîner, en trouver ensuite pour jouer

Encore faut-il mettre en oeuvre les moyens appropriés. On n’enseigne plus la musique aujourd’hui comme on le faisait il y a 50 ans et les pédagogies proposées dans la plupart des structures institutionnelles ont souvent bien vieilli.
Quel rôle entend-on donner à la pratique musicale : simple loisir ou élément de culture? Dans un cas comme dans l’autre, cela nous enrichit et contribue

Nous avons mis au point un « apprentissage- loisir » sans concession sur la qualité des enseignements, mais tenant compte d’une part, du temps que chacun choisit d'accorder à son instrument de manière quotidienne, et d’autre part, qui permette de profiter du cours comme d’un moment de loisir et de partage du plaisir musical.
Vous avez toujours rêvé de jouer de la musique? Venez nous rencontrer pour une séance d'essai. Les inscriptions sont reçues toute l'année…
Comment se passe un cours…
Il est bien évident que le déroulement ne sera pas identique pour un enfant débutant, un jeune de niveau un peu avancé ou un adulte… Cependant, il y aura toujours des invariants, marque de la pédagogie que nous proposons, et qui ponctueront toujours la progression; dans un premier temps, nous ne
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dissocions pas l'apprentissage théorique, le "vilain" solfège (!), de l'apprentissage de l'instrument. En effet, les deux sont indissociablement liésdans la démarche d'enseignement: les difficultés théoriques sont abordées au fur et à mesure, en fonction des besoins rencontrés dans la pièce abordée; on les mémorise ainsi bien mieux puisqu'on comprend instantanément leur intérêt et leur utilité !
Quelque soit l'instrument, il y a dès les premières semaines, toujours deux morceaux en "chantier" en même temps: ceci afin de permettre de diversifier les apprentissages pendant la séance de travail à la maison, et de mieux mémoriser des gestuelles différentes, sans trop se lasser. Dès que possible, on découvrira des styles musicaux différents: classique, mais aussi musiques actuelles, chanson, thème de jazz, parce qu'un instrumentiste, à quelque niveau que ce soit, doit pouvoir avoir une approche de l'intégralité du répertoire de son instrument…
Dès que l'on progresse un peu, on pourra aussi passer un moment à situer le morceau travaillé dans le contexte de l'oeuvre du compositeur, de ses contemporains et… éventuels détracteurs! On analysera les "ficelles" qui ont permis au compositeur de construire son oeuvre, les procédés, principes mélodiques, rythmiques et harmoniques qui pourront aussi "servir" dans d'autres morceaux…
Lorsqu'approchera la "période" de préparation du concert de fin d'année, sera abordé un nouveau type de travail, la préparation d'une prestation
